Mes résultats à Bordeaux
3 mandats. 5 ans d’action.
Première adjointe au Maire en charge de l’économie, de l’emploi et de la croissance durable Vice-Présidente de Bordeaux Métropole chargée des sites majeurs d’attractivité économique Présidente de l’Etablissement Public d’Aménagement de Bordeaux EuratlantiqueLa mission de Virginie Calmels :
Accompagner la mutation urbaine de la Métropole et de la Ville de Bordeaux, d’une attractivité économique forte.
En 5 ans, des résultats probants !
Rapprochement des mondes politiques et économiques
Virginie Calmels a créé le Conseil des Entrepreneurs, une instance trimestrielle devenue un véritable lieu de rencontre entre le monde politique et le monde économique, en s’appuyant sur le tissu économique et entrepreneurial local. Sa connaissance du monde de l’entreprise et son réseau professionnel ont attiré à Bordeaux des personnalités comme Xavier Niel (Free), Philippe Bourguignon (ex Club Med et Euro Disney) ou Carlo d’Asaro Biondo (Google Europe).
La force de Virginie Calmels : sa capacité à comprendre ce monde économique, tout en ayant un pied dans le monde politique.
Pierre Goguet, ancien Président de la CCI de Bordeaux se réjouissait de la présence de Virginie Calmels à Bordeaux : « C’est une source de fierté de voir quelqu’un comme elle s’investir en politique ».
Jean-François Clédel, président départemental du Medef : « Elle a les mêmes codes de fonctionnement que nous, la même capacité de décider et de trancher ».
Réduction des dépenses publiques dans son périmètre
Installation de grands groupes
Pour contribuer à la création nette d’emplois, Virginie Calmels a mis son carnet d’adresses et sa fine connaissance de l’entreprise au service de la Ville et de la Métropole.
Axa Wealth Services, Yooji, Lunettes pour tous, OVH, Ubisoft, Hermès, Betclic, Manomano, … ont choisi pour Bordeaux pour y installer des entités ou leur siège sociale pour certaines.
35 000 emplois nets créés
La méthode de Virginie Calmels : rassembler et fédérer tous les acteurs économiques locaux autour d’une nouvelle marque territoriale forte : Magnetic Bordeaux.
Accueil de grands événements d’envergure nationale
En 5 ans, forte d’une attractivité économique importante, Bordeaux héberge plusieurs événements d’envergure nationale : Cartoon Movie, la Convention nationale des avocats, la Convention nationale des experts-comptables, la Convention nationale de l’Association progrès du management ou celle du réseau Entreprendre.
Transformation numérique de Bordeaux et de son écosystème
Sous l’impulsion de Virginie Calmels, Bordeaux a été une des premières villes à être labellisée French Tech dès 2014.
La labellisation French Tech est le fruit d’un effort commun, auquel Bordeaux a beaucoup contribué, notamment dans le cadre :
- du lancement du site et de la base de données French Tech en 2015 ;
- de la structuration du Réseau des Accompagnateurs de la French Tech, dont les pépinières de la Ville sont partie prenante au même titre que les autres structures d’accompagnement ;
- de l’intermédiation entre les start-ups et des investisseurs comme Google Ventures ou Kima Ventures, ou encore dans le cadre du Quai des Entrepreneurs ;
- de l’émergence d’accélérateurs sur le territoire, à l’image d’Hemera, créée par des chefs d’entreprise de Bordeaux Entrepreneurs, ou 1Kubator qui, après avoir démarré à Lyon, a choisi Bordeaux pour s’implanter avant de se déployer sur toutes les métropoles FrenchTech ;
- ou enfin de la facilitation de l’accès aux marchés publics de la Ville.
L’implication de Virginie Calmels a été saluée par l’écosystème bordelais :
- Alain Juppé, Maire de Bordeaux : « Mention spéciale à Virginie Calmels qui a déployé tous ses réseaux et tous ses contacts » (émission Le Supplément – Canal+)
- Jean-François Laplume, ex-directeur d’AEC, l’agence de développement numérique de la région : « C’est la première fois qu’une élue appréhende si bien les enjeux de la nouvelle économie! » (L’Express)
- Vincent Prêtet, président de 33entrepreneurs : « Elle a une compréhension générationnelle des sujets liés au numérique » (L’Express)
Pour aller plus loin